Histoire littéraire d'Italie, Volumen2

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P.E. Giusti, 1820
 

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Página 56 - Sì che ogni parte ad ogni parte splende. Distribuendo ugualmente la luce: Similemente agli splendor mondani Ordinò general ministra e duce, Che permutasse a tempo li ben vani, Di gente in gente e d'uno in altro sangue, Oltre la difension de...
Página 48 - Francesca, i tuoi martiri a lagrimar mi fanno tristo e pio. Ma dimmi: al tempo de' dolci sospiri, a che e come concedette Amore che conosceste i dubbiosi desiri?
Página 240 - ... n'admire-t-on pas de comparaisons , d'images , de représentations naïves des objets les plus familiers, et surtout des objets champêtres , où la douceur, l'harmonie, le charme poétique sont au-dessus de tout ce qu'on peut se figurer, si on ne le lit pas dans la langue originale ! Et ce qui lui donne encore dans ce genre un grand et précieux avantage , c'est qu'il est toujours simple et vrai ; jamais un trait d'esprit ne vient refroidir une expression de sentiment , ou un tableau de nature......
Página 38 - Acheronte. Allor con gli occhi vergognosi e bassi, Temendo no 'l mio dir gli fusse grave , 80 Infino al fiume di parlar mi trassi. Ed ecco verso noi venir per nave Un vecchio bianco per antico pelo , Gridando: Guai a voi anime prave: Non isperate mai veder lo cielo. 85 I' vegno per menarvi all' altra riva , Nelle tenebre eterne, in caldo e in gelo: E tu che se' costì, anima viva, Partiti da cotesti che son morti.
Página 10 - La morale des premiers siècles de la philosophie, ni celle des premiers siècles du christianisme, la morale d'Homère, ni celle de l'Evangile n'existaient plus; des pratiques superstitieuses, de vétilleuses momeries, qui ne pouvaient être ni la source ni l'expression d'aucune vertu grande et utile, et qui, par l'abus des pardons et des indulgences, s'accordaient avec tous les vices, tenaient lieu de toutes les vertus. C'est dans...
Página 36 - C'est par moi que l'on va dans la cité des pleurs, C'est par moi que l'on va dans le champ des douleurs, C'est par moi que l'on va chez la race damnée! La justice a conduit la main dont je suis née ; Or le Père, et le Fils, et l'Esprit souverain Font, depuis le chaos, tourner mes gonds d'airain ; Rien n'existe avant moi, que chose sans naissance.
Página 57 - Antium , au-dessus de laquelle il n'ya rien sur le même sujet dans la poésie antique. Dante a profité d'une idée de l'ancienne philosophie , adoptée par le christianisme ; de cette idée d'une intelligence secondaire chargée de présider à chacune des sphères célestes ; et il a en quelque sorte ressuscité et rajeuni la déesse de la fortune, en plaçant une de ces intelligences à la direction de la sphère des biens de ce monde. C'est un...
Página 32 - ... parvenu au milieu de sa carrière, après s'être égaré dans les sentiers de l'ambition et des passions humaines, veut enfin s'élever jusqu'aux hauteurs qu'habite la vertu.
Página 402 - ... mes yeux afin qu'il n'y ait plus rien qui me' plaise dans cette vie, et que, mon lien le plus fort étant rompu, je sois averti par la vue fréquente de ces paroles et par la juste appréciation d'une vie fugitive, qu'il est temps de sortir de Babylone : ce qui, avec le secours de la grâce divine, me deviendra facile par la contemplation mâle et courageuse des soins superflus, des vaines espérances et des événements inattendus qui m'ont agité pendant le temps que j'ai passé sur la terre.
Página 449 - ... amour. Mais Cinthie, aussi perverse qu'elle est aimable, se déshonore dans toute la ville par des aventures d'un tel éclat, que Properce ne peut plus l'aimer sans honte. Il en rougit, mais il ne peut se détacher d'elle. Il sera son amant, son époux; jamais il n'aimera que Cinthie. Ils se quittent et se reprennent encore. Cinthie est jalouse, il la rassure. Jamais il n'aimera une autre femme. Ce n'est point en effet une seule femme qu'il aime : ce sont toutes les femmes. Il n'en possède jamais...

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