| Voltaire - 1785 - 428 páginas
...tendre, 8c , je penfe, Quelque diable auffi me pouffant, . Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria , haro fur le baudet. Poujet, quelque peu clerc , prouva par fa harangue, Qu'il fallait dévouer ce maudit... | |
| Jean de La Fontaine - 1796 - 392 páginas
..., et , je pense , Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avais nul droit , puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Unloup,quelquc peu clerc, prouva parsaharangue, Qu'il fallait dévouer ce maudit animal , Ce pelé... | |
| François Moysant - 1803 - 438 páginas
...pense, Quelque diable aussi me poussant, Îe tondis de ce pré la largeur de ma langue, e n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots, on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangu« Qu'il falloit dé v; uer ce maudit animal, te pelé,... | |
| Jean de La Fontaine, Marie-Nicolas-Silvestre Guillon - 1803 - 466 páginas
...pense , Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avois nul droit , puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le Baudet. Un Loup, quelque peu Clerc, prouva par sa harangue, Qu'il falloit dévouer ce maudit animal , Ce pelé... | |
| C. J. Cunninghame - 1808 - 208 páginas
..., et , je pense Quelque diable ausssi me poussant, Je tondis de ce pré la largtur de ma langue. 3e n'en avais nul droit puisqu'il faut parler net; A ces mots on cria haro (10) sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc (ii), prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1812 - 462 páginas
..., et , je pense , Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net....fut jugée un cas pendable. Quoi qu'il en soit, M. Delille, loin de se soustraire à la persécution , comme l'auraient fait' sans doute beaucoup d'autres... | |
| Friedrich Melchior baron von Grimm - 1813 - 462 páginas
...tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. ' Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net....fut jugée un cas pendable. Quoi qu'il en soit, M. Delille, loin de se soustraire à la persécution, comme l'auraient fait sans doute beaucoup d'autres... | |
| Lord Alexander Fraser Tytler Woodhouselee - 1813 - 466 páginas
...pense Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avois nul droit ; puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet : t Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue Qu'il fatloit dévouer ce maudit anima), Ce pelé,... | |
| Jean de La Fontaine - 1813 - 436 páginas
...pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro (2) sur le baudet. Un loup quelque peu clerc (3), prouva par sa harangue Qu'il falloit dévouer ce,maudit... | |
| Jean de La Fontaine - 1814 - 348 páginas
...pense , Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avois nul droit , puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup , quelque peu clerc , prouva par sa harangue Qu'il falloit dévouer ce maudit animal , Ce pelé... | |
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