| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 páginas
...Ces émotions confuses que j'éprouvai coup sur coup n'altéraient point la raison que je n'avais pas encore; mais elles m'en formèrent une d'une autre...et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. Les romans finirent avec l'été de 1719. L'hiver suivant ce fut autre chose. La bibliothèque de ma... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1813 - 532 páginas
...m'étaient déjà connus. Je n'avais rien » conçu, j'avais tout senti. Ces émotions corï» fuses que j'éprouvai coup Sur coup n'altéraient » point...réflexion n'ont jamais bien » pu me guérir. » A vingt-cinq ans i il n'avait fait encore aucune étude suivie; Livré entièrement à ses propres forces... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1813 - 536 páginas
...n'altéraient » point la raison que je n'avais point encore; » mais elles m'en formèrent une d'uiie autre » trempe, et me donnèrent de la vie humaine...réflexion n'ont jamais bien » pu me guérir. » A vingt-cinq ans, il n'avait fait encore aucune ëtudè suivie. Livré entièrement à ses propres forces... | |
| Friedrich Melchior baron von Grimm - 1813 - 462 páginas
...téraient point la raison que je n'avais point en" core ; mais elles, m'en formèrent une d'une antre 4t trempe, et me donnèrent de la vie humaine des " notions bizarres et romanesques, dont l'expéri" ence et la réflexion n'ont jamais bien pu me « guérir." A vingt-cinq ans, il n'avait... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1814 - 446 páginas
...confuses que j'éprouvai coup sur coup n'al" téraient point la raison que je n'avais point en" core ; mais elles m'en formèrent une d'une autre " trempe, et me. donnèrent de la vie humaine des no" tions bizarres et romanesques, dont l'expérience " et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir."... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1814 - 456 páginas
...confuses que j'éprouvai coup sur coup n'al" téraient point la raison que je n'avais point en*' core ; mais elles m'en formèrent une d'une autre '' trempe, et me donnèrent de la vie humaine des no." tions bizarres et romanesques, dont l'expérience '' et la réflexion n'ont jamais bien pu me... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 454 páginas
...verser. Ces émotions, que j'éprouvai coup sur coup , n'altéroient point la raison que je n'avois pas encore ; mais elles m'en formèrent une d'une autre...et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. Les romansfinirent avec l'été de 1719. L'hiver suivant, ce fut autre chose. La bibliothèque de ma... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 458 páginas
...verser. Ces émotions , que jléprouvai coup sur coup , n'altéroient point la raison que je n'avois pas encore ; mais elles m'en formèrent une d'une autre...trempe , et me donnèrent de la vie humaine des notions hizarres et romanesques , dont l'expérience et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. Les... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 482 páginas
...émotions confuses , que j'éprouvai coup sur coup , n'altéraient point la raison que je n'avais pas encore ; mais elles m'en formèrent une d'une autre...et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. (1719-17a3.) Les romans finirent avec l'été de 1719. L'hiver suivant, ce fut autre chose. La bibliothèque... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 494 páginas
...que j'éprouvai coup sur coup , n'altéraient point la raison que je n'avais pas encore ; mais eUes m'en formèrent une d'une autre trempe , et me donnèrent...et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. (1719-1723.) Les romans finirent avec l'été de 1719. L'hiver suivant, ce fut autre chose. La bibliothèque... | |
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