Œuvres de Millevoye, Volumen2 |
Comentarios de la gente - Escribir un comentario
No encontramos ningún comentario en los lugares habituales.
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Adalgise aime Alfred amour barde beau beauté bientôt bords bouche bras brave bruit cæur champs chant charme cherche chéri ciel cieux combats consolant corps coups cours cris d'amour Danois dernier désert destin devant Dieu dieux donner douce douleur doux éclatant Edvin effort enfans enfin ennemis fatal fidèle fille fils fleurs flots fond foule frappé frémit frère front garde génie glaive gloire Grecs guerriers Hélas héros heureux homme j'ai jeune jour l'ame l'autre l'ombre l'un lève loin long-temps longs lui-même main malheur marche maternel mère monts mort mots noble noir nuit PAGE pâle parle peine père peuple pied pleurs poète porte premier qu'à qu'un regards rend répond repos reste rien s'est sacré sais sang sein semble sera seul silence soins soldats sombre sort sujet tendre terre tête tombe tombeau touchant tour traits transports tremblant triste trouble vainqueur victoire vient voit voix yeux
Pasajes populares
Página 71 - Les prétextes pour éluder les devoirs sont ôtés, les négligences corrigées, les abus réformés ou prévenus. Il savait punir , il savait encore mieux pardonner. Vaste dans ses desseins, simple dans l'exécution, personne n'eut à un plus haut degré l'art de faire les plus grandes choses avec facilité , et les difficiles avec promptitude.
Página 217 - Soldats, lorsque tout ce qui est nécessaire pour assurer le bonheur et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France : là, vous serez l'objet de mes tendres sollicitudes. Mon peuple vous reverra avec joie, et il vous suffira de dire : J'étais à la bataille d'Austerlitz, pour que l'on vous réponde : Voilà un brave ! — NAPOLÉON : Proclamation à la Grande Armée.
Página 285 - O moment solennel! ce peuple prosterné, Ce temple dont la mousse a couvert les portiques , Ses vieux murs, son jour sombre, et ses vitraux gothiques , Cette lampe d'airain , qui , dans l'antiquité , Symbole du soleil et de l'éternité , Luit devant le Très-Haut...
Página 216 - Russie et d'Autriche a été en moins de quatre heures ou coupée ou dispersée; ce qui a échappé à votre fer s'est noyé dans les lacs. » Quarante drapeaux, les étendards de la garde impériale de Russie, cent vingt pièces de canon, vingt généraux, plus de trente mille prisonniers, sont le résultat de cette journée à jamais célèbre. Cette infanterie, tant vantée et en nombre supérieure, n'a pu résister à votre choc, et désormais vous n'avez plus de rivaux à redouter.
Página 216 - Napoléon, je suis content de vous ! Vous avez « à la journée d'Austerlitz justifié tout ce que j'attendais de votre « intrépidité : vous avez décoré vos aigles d'une immortelle « gloire. Une armée de cent mille hommes, commandée par les « empereurs de Russie et d'Autriche, a été en moins de quatre
Página 285 - Cette lampe d'airain qui, dans l'antiquité, Symbole du soleil et de l'éternité, Luit devant le Très-Haut, jour et nuit suspendue; La majesté d'un Dieu parmi nous descendue, Les pleurs, les vœux, l'encens qui montent vers...
Página 261 - Par un souffle elle craint de hâter son réveil: Elle entoure de soins sa fragile existence; Avec celle d'un fils la sienne recommence: Elle sait, dans ses cris, devinant ses désirs, Pour ses caprices même inventer des plaisirs. Quand la raison précoce a devancé son âge, Sa mère, la première, épure son langage; De mots nouveaux pour lui, par de courtes leçons, Dans sa jeune mémoire elle imprime les sons; Soin précieux et tendre, aimable ministère, Qu'interrompent souvent les baisers...
Página 283 - C'est là qu'elle se montre dans toute la dignité d'une honnête femme; c'est là qu'elle impose vraiment du respect, et que la beauté partage avec honneur les hommages rendus à la vertu.
Página 273 - O toi qui follement fais ton Dieu du hasard , Viens me développer ce nid qu'avec tant d'art, Au même ordre toujours architecte fidèle, A l'aide de son bec maçonne l'hirondelle.
Página 273 - ... la naissance ? Que de berceaux pour eux aux arbres suspendus ! Sur le plus doux coton que de lits étendus ! Le père vole au loin , cherchant dans la campagne Des vivres qu'il rapporte à sa tendre compagne; Et la tranquille mère , attendant son secours , Echauffe dans son sein le fruit de leurs amours.