| Jean-François de La Harpe - 1801 - 458 páginas
...son monde à sa place , et chacun était content de la sienne. Elle avait un grand usage du monde, et l'espèce de politesse la plus aimable , celle qui a le ton de l'intérêt. Ce ton lui était facile : son ame était singulièrement-aimante, et attirait tout ce qui avait en ce genre des... | |
| Louis Mayeul Chaudon, Antoine François Delandine - 1804 - 668 páginas
...talens pour faire valoir celui des autres ; elle mettoit tout son monde à sa place , et chacun étoit content de la sienne. Avec un grand usage du monde..., celle qui a le ton de l'intérêt. Ce ton •lui ¿toit facile : son âme singulièrement aimante , attiroit tout •ce qui avoit en ce genre des rapports... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 628 páginas
...moins d'envie d'en montrer , et plus de taleus pour fair» valoir celui des autres ; elle rneltoil tout son monde à sa place, et chacun éloil content...aimante , attiroit tout ce qui avoit en ce genre des rapporlsavec elle ; aussi personne n'a jamait ESPI eu autanl d'amis , et chacun d'eux en étoit aimé... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 620 páginas
...monde à sa place, et chacun, étoit content de la sienne. Avec un grand usage du monde, elle a voit l'espèce de politesse la plus aimable , celle qui...étoit facile : son âme , singulièrement aimante , alliroil tout ce qui avoit en ce genre des rapports avec elle ; aussi personne n'a jamai» 3io ESPI... | |
| Julie de Lespinasse - 1820 - 364 páginas
...monde à sa place, et chacun était content de la sienne. Avec un grand usage du monde , elle avait l'espèce de politesse la plus aimable , celle qui a le ton de l'intérêt. Ce ton lui était facile : son aine singulièrement aimante attirait tout ce qui avait en ce genre des rapports... | |
| Jean-François de La Harpe - 1820 - 550 páginas
...son monde à sa place, et chacun était content de la sienne. Elle avait un grand usage du monde, et l'espèce de politesse la plus aimable . celle qui a le ton de l'intérêt. Ce ton lui était facile : son ame était singulièrement aimante , et attirait tout ce qui avait en ce genre... | |
| Jean-François de La Harpe - 1820 - 532 páginas
...son monde à sa place, et chacun était conte»t de la sienne. Elle avait un grand usage du monde, et l'espèce de politesse la plus aimable , celle qui a le ton de l'intérêt. Ce ton lui était facile : son âme était singulièrement aimante , et attirait tout ce qui avait en ce genre... | |
| François-Xavier Feller - 1867 - 672 páginas
...à sa place , et chacun était content de « la sienne. Avec un grand usage du « monde , elle avait l'espèce de politesse « la plus aimable , celle qui a le ton de « l'intérêt. Ce ton lui était facile : son « âme, singulièrement aimante, attirait • tout ce qui avait en ce genre des... | |
| Julie de Lespinasse, Gustave Isambert - 1876 - 276 páginas
...talent pour faire valoir celui des autres : elle mettoit tout le monde à sa place, et chacun étoit content de la sienne. Avec un grand usage du monde,...attiroit tout ce qui avoit en ce genre des rapports avec elle; aussi personne n'a jamais eu autant d'amis, et chacun d'eux en étoit aimé comme s'il eût... | |
| Ferdinando Galiani - 1881 - 704 páginas
...son monda à sa place, et chacun était content de la sienne. Elle avait un grand usage du monde et l'espèce de politesse la plus aimable, celle qui a le ton de l'intérêt.» (1.3 Harpe, Corr. litl.) LXXX A MADAME o'ÉPINAY Naples, i octobre 1773. Puisque vous avez Brantôme,... | |
| |