 | Madame Roland - 1821 - 450 páginas
...d'histoires tendres qui me touchaient pou tant beaucoup , comme celle des époux malheureux d Labédoyère que j'ai présente , quoique je ne l'aie pas relue...qui me convînt; je n'oublierai jamais le carême de iy63 (j'avais alors neuf ans), où je l'emportais à l'église en guise de Semaine-Sainte. C'est de... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - 1821 - 458 páginas
...d'histoires tendres qui me louchaient pourtant beaucoup, comme celle des époux malheureux de Lnbédoyère que j'ai présente, quoique je ne l'aie pas relue...me convînt ; je n'oublierai jamais le carême de i^63 (j'avais alors neuf ans) , où je l'emportais à l'église en guise de Semaine-Sainte. C'est de... | |
 | Roland (Madam) - 1823 - 494 páginas
...d'histoires tendres qui me touchaient pourtant beaucoup, comme celle des époux malheureux de Labédoyère que j'ai présente , quoique je ne l'aie pas relue...Plutarque semblait être la véritable pâture qui me convint; je n'oublierai jamais le carême de 1^63 (j'avais alors neuf ans), où je l'emportais a l'église... | |
 | Madame Roland - 1827 - 542 páginas
...d'histoires tendres qui me touchaient pourtant beaucoup, comme celle des époux malheureux de Labédoyère que j'ai présente, quoique je ne l'aie pas relue...qui me convînt; je n'oublierai jamais le carême de 1^63 ( j'avais alors neuf ans ), où je l'emportais à l'église en guise de Semaine-Sainte. C'est... | |
 | Jacques-Pierre Brissot de Warville - 1830 - 460 páginas
...depuis cet âge. Mais Plutarque semblait être la ventable pâture qui me convînt ; je n'oublirai jamais le carême de 1763 (j'avais alors neuf ans),...l'emportais à l'église en guise de Semaine-Sainte. C'est de ce moment que datent les impressions et les idées qui me rendaient ré^ publicaine sans que... | |
 | Henri La Fayette Villaume Ducoudray Holstein - 1833 - 310 páginas
...malheureux de Labédoyère que j'ai présente, quoique je ne l'eusse pas relue depuis très longtems. Mais Plutarque semblait être la véritable pâture...l'emportais à l'église en guise de semainesainte. C'est de ce moment que datent les impressions et les idées qui me rendaient républicaine sans que... | |
 | Roland (Madam) - 1840 - 682 páginas
...d'histoires tendres qui me touchaient pourtant beaucoup , comme celle des époux malheureux de Labédoyère que j'ai présente, quoique je ne l'aie pas relue...Plutarque semblait être la véritable pâture qui me convint; je n'oublierai jamais le carême de 1763 i j'avais alors neuf ans ), où je l'emportais à... | |
 | Robert Walsh, Eliakim Littell, John Jay Smith - 1831 - 754 páginas
...d'histoires tendres qui me touchoient pourtant beaucoup, comme celle des époux malheureux de Labédoyère que j'ai présente, quoique je ne l'aie pas relue depuis cet âge. Mais Plutarque sembloit •'in la véritable pâture qui me convint; je n'oublierai jamais le carême de 1763 (j'avois... | |
 | 1847 - 540 páginas
...l'aie pas relue depuis cet Age. Mais Plutarque semblait être la véritable pâture qui me convint; je n'oublierai jamais le carême de 1763 (j'avais...moment que datent les impressions et les idées qui irifi rendaient républicaine, sans que je songeasse à le devenir. Télémaque et la Jérusalem délivrée... | |
 | Adolphe Granier de Cassagnac - 1860 - 588 páginas
...touchaient pourtant beaucoup ; mais Plutarque semblait être la véritable pâture qui me convint. Je n'oublierai jamais le carême de 1763 (j'avais alors neuf ans), où je remportais à l'église en guise de Semaine-Sainte. C'est de ce moment que datent les impressions et... | |
| |
que j'ai présente, quoique je ne l'aie pas relue depuis cet âge. Mais Plutarque semblait être la véritable pâture qui me convînt; je n'oublierai jamais le carême de 1763 (j'avais alors neuf ans), où je l'emportais à l'église, en guise de Semaine-sainte.... 
