Esther, tragédie. Athalie, tragédie. Oeuvres diverses, en vers et en prose. Ouvrages attribués a M. Racine |
Comentarios de la gente - Escribir un comentario
No encontramos ningún comentario en los lugares habituales.
Términos y frases comunes
ainſi aſſez auſſi avez avoient avoit ayant c'eſt cæur camp chante charmes cher chercher CHEUR choſes Ciel Cieux Comédie commence côté cours David déja demander devant Dieu dire divin doit donner enfant enfin ennemis eſprit eſt étoient étoit faint fais fans fille fils font force fort forte garde gens gloire grace Grecs heureux hommes j'ai jette jeune Joad Joas jour juger Juifs l'autre l'un Lettres Lévites lieu Livre Louis lui-même mains Maiſon malheureux Marquis mère mille monde Monſieur mort Mortels n'en n'eſt nuit ordre ouvrages paix parler père peuple Place porte premier Prêtres Prince propre qu'à qu'un règne Reine rend rendre reſte rien Rois s'il Saint ſans SCENE Seigneur ſes ſeul ſoit ſon ſont ſous ſur Temple tems terre traits trouble troupes trouva venir vérité veut veux vois voit voix voyez yeux zèle
Pasajes populares
Página 138 - J'approchai par degrés de l'oreille des rois, Et bientôt en oracle on érigea ma voix. J'étudiai leur cœur, je flattai leurs caprices ; Je leur semai de fleurs le bord des précipices ; Près de leurs passions rien ne me fut sacré ; De mesure et de poids je changeais à leur gré.
Página 95 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir ? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat! Quoi! toujours les plus grandes merveilles « Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles...
Página 65 - D'une riche contrée autrefois souverains, Pendant qu'ils n'adoroient que le Dieu de leurs pères , Ont vu bénir le cours de leurs destins prospères. Ce Dieu , maître absolu de la terre et des cieux, N'est point tel que l'erreur le figure à vos yeux : L'Éternel est son nom, le monde...
Página 162 - Ainsi de piège en piège, et d'abîme en abîme, Corrompant de vos mœurs l'aimable pureté, Ils vous feront enfin haïr la vérité, Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas, ils ont des rois égaré le plus sage.
Página 308 - ... sont fort propres à faire mourir le vieil homme ; s'il faut renoncer à tout ce qui divertit, s'il faut pleurer à toute heure ? Hélas ! oui, dira le mélancolique.
Página 147 - En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Página 92 - L'audace d'une femme, arrêtant ce concours, En des jours ténébreux a changé ces beaux jours. D'adorateurs zélés à peine un petit nombre Ose des premiers...
Página 124 - J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies. Je vois l'ordre pompeux de ses cérémonies. ATHALIE Hé quoi ! Vous n'avez point de passe-temps plus doux ? Je plains le triste sort d'un enfant tel que vous.
Página 115 - J'admirais sa douceur, son air noble et modeste, J'ai senti tout à coup un homicide acier, Que le traître en mon sein a plongé tout entier. De tant d'objets divers le bizarre assemblage Peut-être du hasard vous paraît un ouvrage.
Página 25 - Ainsi donc un perfide , après tant de miracles , Pourrait anéantir la foi de tes oracles, Raviroit aux mortels le plus cher de tes dons, Le Saint que tu promets et que nous attendons? Non, non, ne souffre pas que ces peuples farouches. Ivres de notre sang, ferment les seules bouches Qui dans tout l'univers célèbrent tes bienfaits: Et confonds tous ces dieux qui ne furent jamais.