| André Morellet - 1821 - 466 páginas
...faire pour vous. Vous n'avez jamais voulu ni dignités, ni fortune. Je vous ai appelé au ministère. Je sais que vous ne le souhaitiez pas ; mais c'était...un devoir en venant à mon secours; mais Desèze et Tronehet ne me doivent rien. Ils me donnent leur temps, leur travail , peut-être leur vie : comment... | |
| André Morellet - 1822 - 552 páginas
...faire pour vous; vous n'avez jamais voulu ni dignités , ni fortune. Je vous ai appelé au mini*1ère. Je sais que vous ne le souhaitiez pas ; mais c'était...remplir un devoir en venant à mon secours ; mais Destze et Tronche! ne me doivent rien. Ils nie donnent leur temps, leur travail, peut-être leur vie... | |
| Jean Baptiste C. Hanet-Cléry - 1823 - 356 páginas
...attendrir. » Une autre fois , que nous étions seuls , ce prince me dit : « J'ai une grande peine ; Desèze et Tronchet ne me doivent rien ;• ils me donnent leur temps, leur travail, et peut-être leur vie. Comment reconnaître un tel service? Je n'ai plus rien; quand je leur ferais... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1825 - 372 páginas
...attendrir. « Une autre fois, que nous étions seuls , ce prince me dit : « J'ai une grande peine ; Desèze et Tronchet ne me doivent rien ; ils me donnent leur temps , leur travail , et peut-être leur vie. Comment reconnaître un tel service ? Je n'ai plus rien ; quand je leur ferais... | |
| Cléry (M.) - 1825 - 368 páginas
...attendrir. « Une autre fois, que nous étions seuls, ce prince me dit : « J'ai une grande peine ; Desèze et Tronchet ne me doivent rien ; ils me donnent leur temps , leur travail , et peut-être leur vie. Comment reconnaître un tel service ? Je n'ai plus rien ; quand je leur ferais... | |
| Cléry (M.) - 1825 - 360 páginas
...attendrir. « Une autre fois, que nous étions seuls , ce prince me dit : « J'ai une grande peine ; Deseze et Tronchet ne me doivent rien ; ils me donnent leur temps , leur travail , et peut-être leur vie. Comment reconnaître un tel service ? Je n'ai plus rien ; quand je leur ferais... | |
| Cléry (M.) - 1847 - 500 páginas
...attendrir. » Une autre fois, que nous étions seuls , ce prince me dit : « J'ai une grande peine : Desèze et Tronchet ne me doivent rien ; ils me donnent leur temps , leur travail , et peut-être leur vie. Comment reconnaître un tel service ? Je n'ai plus rien ; quand je leur ferais... | |
| 1847 - 478 páginas
...attendrir. » Une autre fois, que nous étions seuls, ce prince me dit :« J'ai une grande peine : Desèze et Tronchet ne me doivent rien ; ils me donnent leur temps , leur travail , et peut-être leur vie. Comment reconnaître un tel service ? Je n'ai plus rien ; quand je leur ferais... | |
| Alphonse de Lamartine - 1847 - 448 páginas
...d'une pensée secrète. « J'ai » une grande peine ajoutée à tant d'autres, dit-il à » son ami. Desèze et Tronchet ne me doivent rien; » ils me donnent leur temps, leur travail et peut» être leur vie. Comment reconnaître un tel service! » Je n'ai plus rien; quand je leur... | |
| Louis-Gabriel-Ambroise vicomte de Bonald - 1854 - 628 páginas
...pas les D attendrir. » Une fois que nous étions seuls, ce prince me dit : a J'ai une grande peine! Desèze et Tronchet ne me doivent » rien ; ils me donnent leur temps, leur travail , peut être leur » vie: comment reconnaître un tel service? Je n'ai plus rien, » et quand je leur... | |
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