Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre, c'est-à-dire les sots, tiraient des soupirs de leurs talons , et , avec des yeux égarés et secs , louaient Monseigneur, mais toujours de la même louange, c'est-à-dire... Causeries du lundi - Página 223por Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852Vista completa - Acerca de este libro
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1829 - 436 páginas
...montraient bien à leur air de quelle boutique ils étaient balayeurs. Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre,...toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, et plaignaient le roi de la perte d'un si bon fils. Les plus fins d'entre eux, ou les plus considérables,... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1840 - 526 páginas
...montraient bien à leur air de quelle boutique ils étaient balayeurs. Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre...toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, et plaignaient le roi de la perte d'un si bon fils. Les plus fins d'entre eux , ou les plus considérables... | |
| 1851 - 332 páginas
...princes, sont les valets, contenant mal leurs mugissements, et désespérés de la perte d'un maîlre si vulgaire, « si fait exprès pour eux. » Parmi...frappés; on a les politiques et les méditatifs qui réfléchissent dans des coins aux suites d'un tel événement. D'autres affectent la gravité et l'immobilité,... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 570 páginas
...de Louis XIV au moment où le grand Dauphin vient d'expirer. » Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre,...toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, et plaignaient le roi de la perte d'un si bon fils. Les plus fins d'entre eux , ou les plus considérables,... | |
| Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - 1852 - 572 páginas
...premières pièces offraient les mugisse« ments continus des valets; plus avant commen« cait la foule des courtisans de toute espèce. Le « plus grand nombre...« égarés et secs , louaient monseigneur , mais tou« jours de la même louange, c'est-à-dire de bonté. « et plaignaient le roi de la perte d'un... | |
| Alphonse de Lamartine - 1852 - 654 páginas
...premières pièces offraient les mugisse« ments continus des valets; plus avant commen« cait la foule des courtisans de toute espèce. Le « plus grand nombre,...yeux « égarés et secs , louaient monseigneur, mais tou« jours de la même louange, c'est-à-dire de bonté. « et plaignaient le roi de la perte d'un... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 610 páginas
...Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre, c'est-a-dire les sots, tiraient des soupirs de leurs talons , et...toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, et plaignaient le roi de la perte d'un si bon fils. Les plus uns d'entre eux , ou les plus considérables,... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 564 páginas
...Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre, c'est-a-dire les sots, tiraient des soupirs de leurs talons , et...toujours de la même louange , c'est-à-dire de bonté, et plaignaient le roi de la perte d'un si bon fils. Les plus fins d'entre eux , ou les plus considérables,... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1853 - 526 páginas
...montraient bien à leur air de quelle boutique ils étaient balayeurs. Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre...soupirs de leurs talons, et, avec des yeux égarés etsecs, louaient Monseigneur, mais toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, et plaignaient... | |
| Hippolyte Adolphe Taine - 1853 - 216 páginas
...est légère. Saint-Simon est plus passionné et plus amer. « Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre, c'est-à-dire les sots, tiraient leurs soupirs de leurs talons , et , avec des yeux égarés et secs , louaient Monseigneur , mais toujours... | |
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