... toujours en garde, craignent la surprise de quelque nouvelle attaque; leur effroyable décharge met les nôtres en furie; on ne voit plus que carnage; le sang enivre le soldat, jusqu'à ce que le grand prince, qui ne put voir égorger ces lions comme... Essai sur la vie du grand-Condé - Página 306por Louis Joseph de Bourbon prince de Condé - 1806 - 326 páginasVista completa - Acerca de este libro
| Jacques Bénigne Bossuet - 1748 - 588 páginas
...ces vieilles troupes & de leurs braves Officiers , lorfqu'ils virent qu'il n'y avoit plus de falut pour eux qu'entre les bras du vainqueur ? De quels yeux regardèrent-ils le jeune Prince, dont la vi&oire avoit relevé la haute contenance, à qui la clémence ajoûtoit de nouvelles grâces ? Qu'il... | |
| Jacques Bénigne Bossuet (évêque.) - 1754 - 530 páginas
...voir égorger ces lions comme de timides brebis , calma; les courages émus ; & joignit au plaifir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors l'étonnement de ces vieilles troupes & de leurs -braves officiers , lorfqulik virent qu'il n'y avoit plus de falut pour de Louis' de Bourbon.... | |
| 1786 - 752 páginas
...» égorger ces lions comme de timides brebis . » calma les courages émue, & joignit au plaifir » de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors » l'étonnement de ces vieilles troupes Se de leurs » braves officiers , lorfqu'ils virent qu'il n'y avoit » plus de falut pour eux qu'entre... | |
| 1786 - 748 páginas
...égorger ces lions comme de timides brebis , « calma les courages émus , & joignit au plaifir » de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors » l'étonnement de ces vieilles troupes & de leurs » braves officiers , lorfqu'ils virent qu'il n'y avoit » plus de falut pour eux qu'entre... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1802 - 320 páginas
..., qui ne put voir égorger ces lious cemme de timides brebis , calma les conrages émus, et joiguit au plaisir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors l'étonnement de ces vieilles tronpes et de leurs braves officiers, lorsqu'ils virent qu'il n'y avoit plus de salut ponr eux qu'entre... | |
| François-Joseph-Marie Fayolle - 1807 - 346 páginas
...soldat, jusqu'à ce que le vainqueur , qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus, et joignit au plaisir de vaincre celui de pardonner .... Le prince fléchit le genou, et, dans le champ de bataille, il rend au Dieu des armées la gloire... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 páginas
...soldat, jusqu'à ce que ce grand prince , qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus, et joignit au plaisir de...lorsqu'ils virent qu'il n'y avait plus de salut pour eux que dans les bras du vainqueur ! De quels yeux regardèrent-ils le jeune prince , dont la victoire... | |
| Moustalon - 1810 - 512 páginas
...jusqu'à ce » que ce grand prince , qui ne put voir égor» ger ces lions comme de timides brebis, calma » les courages émus , et joignit au plaisir...leurs braves officiers, lorsqu'ils virent qu'il » n'y avoit plus de salut pour eux qu'entre les » bras de leur vainqueur î De quels yeux re» gardèrent-ils... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1810 - 386 páginas
...soldat, jusqu'à ce que le grand prince, qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus., et joignit au plaisir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors Pétonnement de ces vieilles troupes et de leurs braves officiers , lorsqu'ils virent qu'il n'y avoit... | |
| 1810 - 506 páginas
...soldat,. jusqu'à ce que le grand prmce, qui ne peut voir égorger ces lions comme de timides brebis , calma les courages émus, et joignit au plaisir de vaincre celui 'de pardonner...... Qu'il eut encore volontiers sauvé la vie au brave comte de Fnentes! Mais il se trouva par terre, parmi... | |
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