Répertoire de la littérature ancienne et moderne, Volumen18 |
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Pasajes populares
Página 246 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois.
Página 240 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence. D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir.
Página 242 - Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre: C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer.
Página 242 - Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Página 221 - II fait en ce beau jour le plus beau temps du monde, Pour aller à cheval sur la terre et sur l'onde.
Página 416 - J'avais un jour un valet de Gascogne, Gourmand, ivrogne et assuré menteur, Pipeur, larron, jureur, blasphémateur, Sentant la hart de cent pas à la ronde, Au demeurant, le meilleur fils du monde*.
Página 245 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale, où...
Página 243 - Certes, ou je me trompe, ou déjà la victoire, Qui son plus grand honneur de tes palmes attend, Est aux bords de Charente en son habit de gloire, Pour te rendre content. Je la vois qui t'appelle, et qui semble te dire : « Roi, le plus grand des rois, et qui m'est le plus cher, Si tu veux que je t'aide à sauver ton empire, II est temps de marcher.
Página 418 - N'est pour vous faire ou requête ou demande : Je ne veux point tant de gens ressembler Qui n'ont souci autre que d'assembler*, Tant qu'ils vivront, ils demanderont, eux ; Mais je commence à devenir honteux, Et ne veux plus à vos dons m'arrêter*. Je ne dis pas, si voulez rien* prêter, Que ne le prenne. Il n'est point de prêteur, S'il veut prêter, qui ne fasse un debteur.
Página 246 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.