La révolution sociale démontrée par le coup d'état du 2 décembreGarnier, 1852 - 281 páginas |
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
24 février Aboukir actes alliés Anglais août armée avril Bataille Bataille de Trafalgar Blocus continental bourgeoisie c'était capitaux César Charles X chef choses citoyen classe moyenne clergé coalition combat conscience constitution du 15 constitutionnelle contre-révolution coup d'état décembre déclaré décrets démo démocratie despotisme dictature Dieu dynastie féodalité force général guerre hommes idées impériale intérêts juillet juin l'Angleterre l'armée l'autorité l'Autriche l'Eglise l'Élysée l'Empereur l'empire l'état l'histoire l'homme l'humanité liberté libre Louis Bonaparte Louis XVI Louis-Napoléon lution mandat maréchal mars Masséna masses ment millions mocratie monarchie Moscou Napoléon nation nationale novembre octobre paix patrie pays pereur peuple philosophie Pie VII politique pouvait pouvoir premier consul Président prêtre princes principe Proclamation progrès prolétariat propriété raison religion représentants répu républicains république reste révo révolution révolutionnaire rien Russie Sénat Sénatus-consulte septembre serait seul socialisme société soldats suffrage universel Système continental tion Trafalgar traité traité d'Amiens travail vaincu victoires voilà Wellington
Pasajes populares
Página 93 - La Constitution reconnaît, confirme et garantit les grands principes proclamés en 1789, et qui sont la base du droit public des Français.
Página 35 - Un obstacle ! il n'y en a pas, il ne peut pas y en avoir ; ma tendresse, notre bonheur, mille écus comptant, il faut absolument que ce mariage se fasse.
Página 10 - Louis-Napoléon, le perdra à son tour, et il en sera de même de ses successeurs autant il s'en présentera, à supposer que le pays consente à payer indéfiniment les frais de ces vocations infidèles. Ainsi, depuis 1848, et je pourrais remonter bien plus haut, un sort est jeté sur les chefs politiques de la France : ce sort, c'est le problème du prolétariat, la substitution de l'économie à la politique, des intérêts à l'autorité, en un mot, l'idée sociale. C'est pour cela que la mission...
Página 188 - ... liberté, car malgré toutes tes servitudes, en aucun lieu de la terre, ni dans l'Europe, ni dans l'Amérique, l'esprit, qui est tout l'homme, n'est aussi libre que chez toi ! patrie que j'aime de cet amour accumulé que le fils grandissant porte à sa mère, que le père sent croître avec ses enfants ! Te verrai-je souffrir longtemps encore, souffrir non pour toi seule, mais pour le monde qui te paye de son envie et de ses outrages ; souffrir innocente, pour cel'a seulement que tu ne te connais...
Página 62 - Le président s'était fait connaître jadis par des écrits socialistes : ses amis conservateurs en avaient presque demandé pour lui pardon au pays. Le peuple, qui juge les hommes d'après lui-même, sait qu'ils peuvent trahir et se vendre, mais qu'ils ne changent pas. Il dit, le mot est historique : Barbes a demandé pour nous un milliard aux riches : Bonaparte nous le donnera 1 Largesse ! comme au temps des rois.
Página 58 - Il faut, demandez à ceux de 93, une conscience large, que n'effarouche point à l'occasion une alliance adultère , la foi publique violée, les lois de l'humanité foulées aux pieds, la constitution couverte d'un voile, pour faire la besogne des révolutions... Si la pensée du 24 février fut sans comparaison plus...
Página 131 - Content alors d'avoir été appelé par l'ordre de celui de qui tout émane, à ramener sur la terre la justice, l'ordre et l'égalité, j'entendrai sonner la dernière heure sans regret et sans inquiétude sur l'opinion des générations futures.
Página 75 - Dans l'indécision des croyances, chacun redemande à l'Eglise qui un remède à la corruption, qui un préservatif contre la révolution sociale. La bourgeoisie, quel heureux symptôme ! après un siècle d'indifférence, se prend tout à coup de ferveur religieuse. Elle avise que la religion peut être utile à ses intérêts : aussitôt elle demande de la religion, beaucoup de religion.
Página 148 - Napoléon déchu du trône ; le droit d'hérédité aboli dans sa famille ; le peuple français et l'armée déliés envers lui du serment de fidélité.