Voyage dans les provinces de Rio de Janeiro et de Minas Geraes, Volumen1,Tema 2

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Grimbert et Dorez, 1830

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Contenido

CHAP XIII
75
62 celui du Parahybuna
84
priétaires de sucreries 246 com
90
97 rectification dune erreur
97
maladies 161 leurs mariages Campos ou pays découvert
98
trumens dagriculture usités dans
109
des Mines Coton de Minas Novas
113
des habitations en forme de bornes
119
nues au milieu des catingas 113 nado 67 et suiv de Chapada
122
Gale trèscommune II
135
de ses graines I 406 manière de District des Diamans lauteur
138
ser le coton 111 usage du com histoire de cette division 143
144
sa arbre sa description II 104 ces Indiens 435 réflexions sur cette
156
sauvage I
158
162 son évêché id son séminaire ceux qui habitent les villages 317
163
ils chantent au lieu à quoi ils sont dus 23 id 285
166
nhonha II 188 205
188
naissance de quelquesuns dentre P Canella dema voy Lychno
193
rianna I 168 son étendue id laldea de S Nicolao 407 celles
201
tendue conspiration connue sous
202
Réflexions sur la civilisation
205
douane celui du Parahyba I
210
pulation de la paroisse dont elle est des Macunis II 47 des Botocudos
213
riture 203 punition quils infligent cre réussit très bien dans le Ser
215
sa baie I 4 ses alentours 51 dune des cavernes doù on le tire
216
dre 1 444 ceux du ruisseau voi mérique parcourue par lauteur
220
leurs yeux leur couleur id leur
221
Retour à Villa do Fanado par S Domingos et Agua
224
vilisation des Botocudos 218 leurs tinosa graminée qui succède
230
nière de prendre le poisson à laquelle Race caucasique elle paraît sal
231
situés sur ses bords 387 histoire S Bento habitation II 447
237
Francisco de Toledo Paulistes de domicile 452
242
des prêtres I 172 ceux du Bré de Morro de Gaspar Soares 301
301
les fatigue 443 croit pas dans le Sertão
311
histoire I 75 sa situation et ses Mochas vaches sans cornes
313
sa description II 66 trait datta sil II
314
ou désert leur origine II 303 Stupor voy
318
chement pour sa femelle 67 on de Ouro Fino rancho lauteur
320
zendas I 208 description de leurs II 288
338
Voyage dans le Sertão depuis son entrée jusquau vil
340
homme de la troupe de Janvé 203 taire de la fazenda de Ribeirão
345
églises 333 ses boutiques 334
347
cuir II 110 et 334 le séjour du roi à Rio de Janeiro 357
357
vière I 450 Juiz de fóra magistrat I 359
359
Suite du voyage dans le Sertão
361
Brumado village 1 218 général pour faire payer les débi
366
division II 226 son histoire
368
CHAP XV
369
tion I 242 tableau de diverses Maladies vénériennes trèscom
370
de lieux I 88 difficulté de lor Pao pobre ou puta pobre arbre
378
dans le diocèse de Marianna 1 agrégés à ce régiment
383
tume I 122 leur manière daller Froment sa culture I 390
390
le S Francisco II
391
liens de plantes et danimaux II Pao grande habitation I 24
395
ses recluses 82 son Chicriabas ou Xicriabas peu
396
Départ de Capão do Cleto Village de Salgado
401
nella dema composée I 310 Mangareto aroïde comestible
403
dos son portrait II 140 sa mai détails étendus sur la manière
408
en poudre 338 histoire de la ma histoire 412 et suiv ses produc
418
Macauba habitation II 434 coup cultivée dans le Sertão
431
nicipal I 370 ses fonctions 371 élever un plus grand nombre de bes
447
vierges et de celui des catingas id II
449
pèces se trouvent dans le Sertão
477
478

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Página 3 - A l'orient, celle des forêts s'étend sur la frontière, du sud-ouest au nord-est $ après elle, vient la région des carrascos, qui est fort élevée, et où le...
Página 104 - ... qui l'entourent, ne va guère au delà d'un pied. Comme certaines colonnes il est plus renflé au milieu de la base, le plus souvent il grossit déjà à peu de distance de terre et à sa partie supérieure il va en diminuant à la manière d'un Fuseau. Son écorce luisante et roussâtre n'est pas fendue, mais elle porte des tubercules gris qui sont les restes des épines dont l'arbre était chargé pendant sa jeunesse. Dans toute sa longueur le tronc qui atteint une grand élévation, ne présente...
Página 391 - Spix). Ce beau poisson atteint à peine deux pieds de longueur; mais il va par bandes, et a les mâchoires armées de dents triangulaires et tranchantes. Lorsqu'un animal ou un homme tombe dans l'eau, il est ordinairement attaqué dans l'instant même par les piranhas. Leur morsure est tellement prompte et si vive qu'on la sent aussi peu que la coupure d'un rasoir; c'est du moins ce que...
Página 389 - Alors la surface de la terre n'offre qu'une poussière fine qui brûle la plante des pieds; une vapeur rougeâtre obscurcit l'air ; les sables qui bordent le fleuve réfléchissent les rayons du soleil, et ils échauffent encore l'atmosphère. Vers la fin d'août et au commencement de septembre , on met le feu aux herbes des pâturages ; c'est l'époque à laquelle les pluies commencent.
Página 97 - Momordica. eux. Il est important de constater ce qu'est cette végétation si brillante et si variée, avant qu'elle soit détruite ; aussi , dans mes divers ouvrages , ai-je souvent donné sur ce sujet des détails qui, s'ils ne sont pas aujourd'hui sans intérêt, deviendront bien plus intéressans encore , lorsqu'il faudra les considérer comme appartenant uniquement à l'histoire de notre globe et à celle de la géographie botanique. Les différences de la végétation primitive sont tellement...
Página 104 - Parmi les arbres des catingas , il en est trois qui attirèrent mon attention par la singularité de leurs caractères. L'un d'eux , qui a beaucoup plus de deux brasses de circonférence, frappe d'autant plus que le diamètre de ceux qui l'entourent ne va guère au-delà d'un pied. Comme certaines colonnes, il est plus renflé au milieu qu'à la base ; le plus souvent il grossit déjà à peu de distance de la terre , et, à sa partie supérieure, il va en diminuant à la manière d'un fuseau. Son...
Página 88 - Ces bois avaient une ressemblance parfaite avec ceux de nos taillis où an laisse çà et là croître des baliveaux. Les arbres conservaient à peine quelques feuilles jaunâtres ou d'un pourpre foncé ; la terre était jonchée de celles qu'ils avaient perdues, et, de temps en temps, il en tombait encore quelques-unes à mes pieds. Les gazons qui bordaient le chemin avaient été brûlés par l'ardeur du soleil ; une seule acanthée laissait apercevoir de petites fleurs à deux lèvres et à tube...
Página 150 - Saint-Hilaire, le type mongol, comme il retrouve dans celui des autres tribus de la lingoa gérai un des rameaux les moins nobles de la race caucasique. Ainsi que la plupart des autres Indiens , les Botocoudos ont les cuisses et les jambes menues , les pieds petits, la poitrine et les épaules larges , le cou fort court et le nez épaté, les yeux divergents, l'os des joues très-élève ; cependant on remarque entre ces sauvages et les autres peuplades quelques-unes de ces différences qui , dans...
Página 98 - ... qui en a été faite par les habitans du pays. Toute la contrée se distingue en matos , bois , et campos , pays découvert. Ou les bois appartiennent à la végétation primitive, ou ils sont le résultat du travail des hommes. Les premiers sont les forêts vierges (matos virgens ) ; les catingas dont la végétation est moins vigoureuse que celle de ces dernières...
Página 98 - ... qui peu à peu remplacent les capoeiras , lorsqu'on est un certain temps sans couper ces dernières. Le mot campo indique un terrain couvert d'herbes , ou si l'on veut , tout ce qui n'appartient à aucune des espèces de bois que j'ai fait connaître tout à l'heure.

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