 | 1832 - 1096 páginas
...trône et de la. grandeur de la France. » » Monsieur, j'ai entendu l'adrrsse que vous me pré&eiitcz au nom de la Chambre des députés. « J'avais droit de compter sur le con* conrs des deux chambres pour accomplir tout le bien que je méditais; mon cœur h'affligc de voirlt-s... | |
 | 1830 - 772 páginas
...condition de la force du trône et de la grandeur de la France. » Le Roi a répondu : « Monsieur, j'ai entendu l'adresse que vous me présentez au nom de la chambre des députés. J'avois droit de compter sur le concours des deux chambres pour accomplir tout le bien que je méditois.... | |
 | Etienne-Léon baron de Lamothe-Langon - 1831 - 420 páginas
...la situation. La lecture achevée, le roi prit la parole en ces termes : • « Messieurs, dit-il, j'ai entendu l'adresse que • vous me présentez...chambre des «députés. J'avais droit de compter sur le con» cours des deux chambres pour accomplir tous »le bien que je méditais. Mon cœur s'afflige de... | |
 | Jean Gabriel Maurice Rocques de Montgaillard - 1833 - 434 páginas
...pays. » Charles x répond à la grande députation dans la personne de son président: « Monsieur, j'ai entendu l'adresse que vous me présentez au nom...méditais. Mon cœur s'afflige de voir les députés des départemens déclarer que , de leur part , ce concours n existe pas. — Messieurs, j'ai annoncé... | |
 | 1832 - 1094 páginas
...condition de la force du trône et de la grandeur de U France. » RÉPONSE li II KOI. « Monsieur, j'ai entendu l'adresse que vous me présentez au nom de la Chambre des députés. \ i« J'avais droit de compter sur le concours des deux chambres pour accomplir tout le bien que jo... | |
 | 1832 - 1094 páginas
...des rit-putes. « J'aviiis droit de compter snr le concours des deux chambres pu tir accomplir lont le bien que je méditais; mon cœur .s'afflige de voir les députés des départemens déclarerque, de leur part, ce concours n'existe pas. «• Mi'SMcurs, j'ai annoncé mes... | |
 | Capefigue - 1833 - 412 páginas
...l'adresse, mais qu'il lui ferait une réponse sévère. Lorsque M. Royer-Collard, avec sa parole grave mais tremblante et émue, eut .prononcé la dernière et...méditais; mon cœur s'afflige de voir les députés des départ emens déclarer que, de leur part, ce concours n'existe pas. Messieurs, j'ai annoncé mes résolutions... | |
 | Charles Lacretelle - 1835 - 576 páginas
...chambre , M. Royer-Collard : « J'ai entendu l'adresse » que vous me présentez au nom de la cham» bre des députés. J'avais droit de compter » sur le...; » mon cœur s'afflige de voir les députés des » départemens déclarer que de leur part » ce concours n'existe pas. Messieurs, j'ai » annoncé... | |
 | Auguste Aime Boulée - 1839 - 404 páginas
...Charles X répondit avec une dignité à peine altérée par la solennité de la circonstance : « J'ai entendu l'Adresse que vous me présentez au nom...J'avais droit de compter sur le concours des deux Cham(1) Cette réponse fut rédigée par M. de Guernon-Ranville, sauf un léger changement de Charles... | |
 | Auguste Aimé Boullée - 1839 - 790 páginas
...altérée par la solennité de la circonstance : « J'ai entendu l'Adresse que vous me présentezau nom de la Chambre des députés. J'avais droit de compter sur le concours des deux Cham(1) Cette réponse fut rédigée par M. de Guernon-Ran ville, sauf un léger changement de Charles... | |
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J'avais droit de compter sur le concours des deux chambres pour accomplir tout le bien que je méditais; mon cœur s'afflige de voir les députés des départements déclarer que , de leur part , ce concours n'existe pas. 
