Nouveau dictionnaire d'histoire naturelle: appliquée aux arts, à l'agriculture, à l'économie rurale et domestique, à la médecine, etc, Volumen29Chez Deterville, 1819 |
Contenido
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Nouveau dictionnaire d'histoire naturelle: appliquée aux arts, à ..., Volumen29 Vista completa - 1819 |
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Términos y frases comunes
ailes animaux arbrisseau arrondies avoit blanc botanistes brun calcaire calice CAMPAGNOL capsule cassure chlorite cinq compacte coquille corolle corps couleur cristaux croît cultive Cuvier dents DESM dessous dioécie Dioscoride divisions donne ce nom écailles élytres épines espèce étamines étoit famille feldspath femelles feuilles alternes feuilletée fleurs folioles fossile fruits Genre de plantes gneiss grains granite grenue gris Hartz insectes jaunâtre jaune l'article l'espèce lancéolées Linn Linnæus longueur mâchoire mâle membrane mica micaschiste minéralogistes minéraux monogynie noir noirâtre Nom vulgaire noyaux oblongues oiseaux ovaire ovaire supérieur ovales paroît pâte pennes pétales pétioles petits phyllades pieds Pline poils poissons porphyre pouces POUDINGUE presque protogyne pyrites quadrupèdes quarz quelquefois queue racine renferme RENONCULE reptiles rhinocéros RHUBARBE rhus ricinus roches ROLLIER rose ROSIER rouge rougeâtre ROUSSETTE rubiacées ruminans schiste semences serpens seule souvent stigmate structure style substances surmulot syénite terminales tête tige trouve variété velues vert
Pasajes populares
Página 192 - ... par ce tyran des ondes. Terrible encore lorsqu'on a pu parvenir à l'accabler de chaînes, se débattant avec violence au milieu de ses liens, conservant une grande puissance lors même qu'il est déjà tout baigné dans son sang, et pouvant d'un seul coup de sa queue, répandre le ravage autour de lui, à l'instant même où il est près d'expirer, n'est-il pas le plus formidable de tous les animaux auxquels la nature n'a pas départi des armes empoisonnées? le tigre le plus furieux, au milieu...
Página 166 - ... chaleur humide en soulèvent la vase; et tout ce peuple impur, rampant sur le limon ou bourdonnant dans l'air qu'il obscurcit encore, toute cette vermine dont...
Página 166 - Des eaux stagnantes, et répandues près et loin de leur cours, couvrent le limon vaseux qu'elles ont déposé ; et ces vastes marécages, exhalant leurs vapeurs en brouillards fétides...
Página 192 - ... le tigre de la mer. Recherchant sans crainte tout ennemi, poursuivant avec plus d'obstination, attaquant avec plus de rage...
Página 192 - ... facilement par l'éclat phosphorique dont il brille au milieu des ombres des nuits les plus orageuses, menaçant de sa gueule énorme et dévorante les infortunés navigateurs exposés aux horreurs du naufrage, leur fermant toute voie de salut, leur montrant en quelque sorte leur tombe ouverte, et plaçant sous leurs yeux le signal de la destruction ; il n'est pas surprenant qu'il ait reçu le nom sinistre qu'il porte, et qui, réveillant tant d'idées lugubres, rappelle surtout la mort dont...
Página 166 - Les énormes serpents tracent de larges sillons sur cette terre bourbeuse; les crocodiles, les crapauds, les lézards et mille autres reptiles à larges pattes en pétrissent la fange; des millions d'insectes enflés par lachaleur humide en soulèvent la vase; et tout ce peuple impur, rampant sur le limon ou bourdonnant dans l'air qu'il obscurcit...
Página 165 - ... mort, parce que rien ne peut naître, et que l'élément nécessaire au développement des germes de tout être vivant ou végétant, loin d'arroser la terre par des ruisseaux d'eau vive, ou de la pénétrer par des pluies fécondes, ne peut même l'humecter d'une simple rosée. Opposons ce tableau...
Página 52 - ... de noisettes ou de faines; on en trouve quelquefois jusqu'à un boisseau dans un seul trou; et cette provision, au lieu d'être proportionnée à ses besoins , ne l'est qu'à la capacité du lieu : ces trous sont ordinairement de plus d'un pied sous terre , et souvent partagés en deux loges, l'une où il habite avec ses petits, et l'autre où il fait son magasin.
Página 166 - ... en pluies précipitées par les orages, ou dispersées par les vents. Et ces plages, alternativement sèches et noyées, où la terre et l'eau semblent se disputer des possessions illimitées, et ces broussailles de mangles...
Página 552 - ... ils fuient assez loin par un vol rapide, mais court et peu élevé. Ils se nourrissent de petits fruits sauvages , et ils ont l'habitude de gratter la terre , de battre des ailes et de se secouer comme les poules; mais ils n'ont ni le chant du coq ni la voix de la poule : leur cri pourroit s'exprimer par la syllabe ké, prononcée d'un ton aigu et traînant.