Essai sur les mœurs et l'esprit des nations: et sur les principaux faits de l'histoire depuis Charlemagne jusqu'à Louis XIII, Volumen3P. Didot l'aîné, et F. Didot, 1805 |
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Adrien IV Allemagne Allemands Arabes armée avaient barbares Baudouin bientôt Bohémond c'était califes cent mille CHAP CHAPITRE Charlemagne chevaliers chrétiens comte comtesse Mathilde concile conquérants conquête Constantinople couronne croisades croisés d'Angleterre déja disputait empereurs enfin états évêques excommunié femme fief fils Frédéric frere Gengis gouvernement Grecs Grégoire VII guerre civile Henri III Henri IV hommes Innocent Innocent III Jean Jean XII Jérusalem l'Allemagne l'Asie mineure l'église l'em l'empereur Henri l'empire l'Europe l'évêque l'Italie l'occident l'orient légat Léon IX Lombardie long-temps Lothaire Louis VIII Louis-le-Jeune mahométans maître Marozie MOEURS mort musulmans n'avait n'était Naples nation nommé Normandie onzieme siecle Othon pape patriarche pays pere pereur peuples Philippe Philippe-Auguste Photius pontife Pouille pouvait premiere presque princes prit province querelles regne religion reste Robert Robert Guiscard Roger rois Romains Rome royaume s'était saint Louis saint-siege Saladin seigneurs serment Sicile souverain successeurs sultan Syrie Tartares terre troupes Turcs vainqueur vassaux voulait
Pasajes populares
Página 6 - Si les frontières de l'empire grec étaient toujours resserrées et toujours désolées, la capitale était le théâtre des révolutions et des crimes. Un mélange de l'artifice des Grecs et de la férocité des Thraces formait le caractère qui régnait à la cour. En effet, quel spectacle nous présente...
Página 230 - ... anachorète, ne lui ôta aucune vertu de roi. Une sage économie ne déroba rien à sa libéralité. Il sut accorder une politique profonde avec une justice exacte ; et peut-être est-il le seul souverain qui mérite cette louange : prudent et ferme dans le conseil , intrépide dans les combats sans être emporté , compatissant comme s'il n'avait jamais été que malheureux. Il n'est pas donné à l'homme de porter plus loin la vertu.
Página 229 - Louis IX paraissait un prince destiné à réformer l'Europe, si elle avait pu l'être ; à rendre la France triomphante et policée , et à être en tout le modèle des hommes. Sa piété, qui était celle d'un anachorète, ne lui ôta aucune vertu de roi. Une sage économie ne déroba rien à sa libéralité. Il sut accorder une politique profonde avec une justice exacte ; et peut-être est-il le seul souverain...