Histoire de la révolution française: depuis 1789 jusqu'en 1814, Volumen1

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Página 149 - Et certes, il n'y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni Rome Mais aujourd'hui la banqueroute , la hideuse banqueroute est là ; elle menace de consumer vous, vos propriétés, votre honneur..., et vous délibérez...
Página 41 - Puisse, messieurs, un heureux accord régner dans cette assemblée, et cette époque devenir à jamais mémorable pour le bonheur et la prospérité du royaume ! c'est le souhait de mon cœur, c'est le plus ardent de mes vœux , c'est enfin le prix que j'attends de la droiture de mes intentions et de mon amour pour mes peuples.
Página 350 - Mais j'ai été appelé deux fois au conseil de celui qui fut mon maître, dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde; je lui dois le même service, lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse.
Página 149 - Votez-le, parce que les circonstances publiques ne souffrent aucun retard, et que nous serions comptables de tout délai. Gardez-vous de demander du temps : le malheur n'en accorde jamais. Eh ! messieurs, à propos d'une ridicule motion du Palais-Royal, d'une risible insurrection qui n'eut jamais d'importance que dans les imaginations faibles, ou les desseins pervers de quelques hommes de mauvaise foi, vous avez entendu naguère ces mots forcenés : Catilina est aux portes de Rome, et l'on délibère.
Página 303 - canon que vous entendez, dit-il, n'est point le canon d'alarme; c'est » le pas de charge sur nos ennemis. Pour les vaincre, pour les atterrer, » que faut-il? De l'audace, encore de l'audace, et toujours de l'audace.
Página 352 - Je m'arrête devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles.
Página 170 - ... décrétée par l'Assemblée nationale, et acceptée par le Roi; de protéger conformément aux lois, la sûreté des personnes et des propriétés; la...
Página 236 - ... des despotes, ressemblent aux coups que deux amis, excités par un instigateur perfide, se portent dans l'obscurité; si la clarté du jour vient à paraître, ils jettent leurs armes, s'embrassent et châtient celui qui les trompait. De même, si au moment que les armées ennemies lutteront avec les nôtres, le jour de la philosophie frappe leurs yeux , les peuples s'embrasseront à la face des tyrans détrônés, de la terre consolée et du ciel satisfait.
Página 397 - Oui, je vais conclure, et contre vous; contre vous qui, après la révolution du 10 août, avez voulu conduire à l'échafaud ceux qui l'ont faite; contre vous, qui n'avez cessé de provoquer la destruction de Paris; contre vous, qui avez voulu sauver le tyran; contre vous, qui avez conspiré avec...
Página 41 - Mais tout ce qu'on peut attendre du plus tendre intérêt au bonheur public, tout ce qu'on peut demander à un souverain, le premier ami de ses peuples, vous pouvez , vous devez l'espérer de mes sentimens.

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