Collection complète des œuvres de l'abbé de Mably, Volumen1De l'imprimerie de Ch. Desbriere, 1794 |
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Términos y frases comunes
assemblées atque auroient auroit autorité avoient avoit Baluz barbares bénéfices cætera capitulaires champ de Mai CHAPITRE Charlemagne Charles Martel Charles-le-Chauve chartes citoyens clergé Clotaire Clovis comtes connoître coutumes culpabilis judicetur devoient devoirs différens dignité Dom Bouquet donnoit ecclesiæ ejus états étoient étoit évêques faisoient fiefs fortune fuerit fussent Gaules Gaulois Germanie gouvernement Grégoire de Tours guerre hommes libres Hugues-Capet Ibid juges justice l'abbé de Mably l'abbé du Bos l'état législateur Leudes liberté loi salique lois Lothaire Louis Louis-le-Débonnaire Mably maire maire du palais ment Mérovingiens mœurs Montesquieu n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit nation Neustrie noblesse omnes patrie Pepin peuple Phocion politique pouvoient pouvoit premiers prérogative président de Montesquieu prince principes public puissance quæ quis quod règne révolution ripuaires rois Mérovingiens Romains royaume sage salique seigneurs seroit sicut sunt suum terres tion traité d'Andely trône vassaux verò vertu Volumus vouloit
Pasajes populares
Página 253 - Pour prévenir cet inconvénient il y laissait un défaut qui pouvait les renverser sous un prince moins sage que lui. « En effet, dit Mably, pour peu qu'on soit instruit des causes qui, dans tous les temps et dans tous les pays libres, ont occasionné • des désordres et des révolutions, on jugera sans peine que rien n'est plus dangereux que de confier à la même personne l'exécution des lois dans toutes les branches différentes de la société. Il n'est pas possible que cette masse énorme...
Página 94 - C'est une singularité digne de remarque que deux hommes de lettres, sans caractère public, fussent chargés de cette négociation, qui allait changer la face de l'Europe. Il se brouilla avec le cardinal, à l'occasion d'un mariage protestant que Tencin...
Página 137 - Ces chasseurs , impatiens de raconter à leurs familles les merveilles qu'ils avoient vues , retournèrent dans leurs habitations ; et les récits par lesquels ils piquoient la curiosité de leurs compatriotes, devoient changer la face des nations. Jamais peuple ne lut plus terrible que.
Página 317 - On donnait dès lors en fief presque toutes choses : la gruerie ou juridiction des forêts; le droit d'y chasser; une part dans le péage ou dans le rouage d'un lieu ; le conduit ou escorte des marchands venant aux foires ; la justice dans le palais du prince ou haut seigneur; les places du change dans celles de ses villes où il faisait battre monnaie; les maisons et loges des foires; les maisons où étaient les étuves publiques ; les fours banaux des villes; enfin jusqu'aux essaims d'abeilles...
Página 45 - ... leur gouvernement, de leurs lois, des partis qui divisent leurs nations, de l'équilibre de l'Europe, des forces des principales puissances, de leurs richesses, de leurs ressources, des traités qui les unissent, » Mably croit >< ne pas rendre un service médiocre aux personnes qui, persuadées que le bonheur ou le malheur des hommes tient à une bonne ou à une mauvaise législation, aiment à s'occuper de cet objet intéressant*.
Página 103 - ... le sujet; ce fut un choix fait Sur la foule des livres qui paraissent journellement en Europe , et qui se fixa sur celui qu'on regarda comme le plus utile à l'humanité entière : c'étoit le premier exemple d'un pareil concours. La même chose s'est renouvelée en 1765.
Página 40 - ... de la morale avec la politique. On voulut former au grand art de régner un jeune Bourbon , et aux leçons tracées par les Bossuet et les...
Página 117 - Condillac se chargea de la négociation, et les choses en demeurèrent là. Nous tenons cette anecdote d'un ami particulier de l'abbé de Mably ., et lui-même est membre de l'académie française.
Página 230 - La démocratie place le roi des Francs parmi les défenseurs de la liberté : « Qu'on examine de près la conduite de Charlemagne, dit Mably, et on le verra toujours scrupuleusement attentif à respecter la liberté qu'il avait rendue à sa nation, dans la vue d'y détruire l'esprit de servitude et de tyrannie, de l'intéresser au bien public, et d'en faire l'instrument des grandes choses qu'il méditait...
Página 283 - Charle-le-Chauve , on ne sera pas surpris des progrès rapides que fit la tyrannie des particuliers à la faveur de l'anarchie générale, si on se rappelle lapeinture que l'histoire nous fait des successeurs de ce prince.