| François-René vicomte de Chateaubriand - 1844 - 482 páginas
...achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé...fange , Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux. Il serait malaisé de décider ici entre... | |
| 1844 - 180 páginas
...achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser; Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et trainés dans la fange. Des lambeaux pleins de sang, «t des membres affreux, Que... | |
| Jean Racine - 1844 - 682 páginas
...achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser : Et moi , je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange , Des lambeaux pleins de sang , et des membres affreux Que... | |
| Jean Racine - 1844 - 592 páginas
...paru se baisser; Et moi je lui tendois les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé-qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris, et traînés dans la fange!, dre une foule d'objets différents avec des traits plus vrais, plus variés, plus énergiques; et ces... | |
| 1845 - 820 páginas
...achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser; Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé...fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux... ABMEB. Grand Dieu ! ATHALIE. Dans ce... | |
| N. Roy - 1845 - 408 páginas
...achevant ces mots épouvantable? Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang et des membres affreux, Que... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1845 - 372 páginas
...achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que... | |
| Charles Picot - 1845 - 260 páginas
...achevant ces mots^ çpouvantables, Son .ombre vers mon lit,a paru se baisser, Et moi je' lui tendais les mains, pour l'embrasser ; Mais, je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et tramés dans la (ange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres aflreu) Que des... | |
| Jean Racine - 1846 - 684 páginas
...achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser : Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres iilVrcu v Que... | |
| Gabriel Surenne - 1846 - 346 páginas
...voix se portent sur le dernier: Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang et des membres affreux, Que des chiens dévorans se disputaient entr'eux. ABNER. Avec horreur : Grand Dieu ! ATHALIE.... | |
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